samedi 31 mai 2008

Pissaladière




Ingrédients (6 personnes) - Entrée


- 300 g de farine
- 50 g de beurre
- 50 g d’huile d’olive
- 1 oeuf
- 1 paquet de levure de boulanger
- 6 anchois
- 1 kg d’oignons blancs
- 15 olives
- sel

Préparation (1 heure) / Cuisson (1 heure)

- Délayer la levure dans de l’eau tiède. Dans une jatte, mélanger farine, sel, oeuf, beurre fondu, huile d’olive, levure. Pour obtenir une pâte assez souple, ajouter un petit peu de lait. Couvrir la jatte d’un linge et laisser lever la pâte dans une ambiance tiède.

- Pendant ce temps, faire confire les oignons blancs émincés dans une poêle avec de l’ huile d’olive et une pincée de sel, à feu très doux (45 minutes minimum). Laisser refroidir.

- Piler 3 anchois, les mélanger aux oignons. Étaler la pâte dans une tourtière huilée. Si besoin, égoutter les oignons pour éliminer l’huile en trop. Garnir le fond de tarte avec les oignons.

- Dessus, ajouter les olives noires et décorer avec des filets d’anchois. Cuire à four moyen (220°) environ 1 heure.


BONNE APPETIT

Soupe à l'oignon à la lyonnaise

Ingrédients (4 personnes) - Plat principal

- 4 oignons
- 40g beurre
- Farine
- Sel, poivre
- 4 tranches de pains rassit
- Gruyère rapé

Préparation (15 minutes) / Cuisson : 30 minutes

- Epluchez les oignons et coupez-les en minces rouelles.
- Faites chauffer le beurre, jetez-y les oignons. Les faires dorer. Ils doivent être cuits mais pas brûler.
- Soupoudrez les d'une cuillère à soupe de farine et remunez jusqu'à ce que la farine devienne de la même couleur que les oignons.
- Ajouter 1,5 litre d'eau par petite quantité en tourant avec une cuillère en bois.
- Salez, poivrez.
- Faire bouillir pendant 30min.

- Déposez une tranche de pain rassit au fond de chaque soupière individuelle (ou assiette à soupe).
- Versez la soupe sur la tranche de pain en faisant en sorte qu'une partie des oignons restent sur celle-ci.
- Mettre le gruyère râpé sur la montagne formée par la tranche de pain et les oignons.
- Attendre 1 à 2 minutes que le fromage commence à fondre légèrement.

Bonne dégustation.

vendredi 30 mai 2008

Le pétrole retrouve ses fondamentaux


Cette semaine, les prix du pétrole se sont clairement assagis par rapport à la semaine précédente, qui avait vu le baril d'or noir dépasser pour la première fois les 135 dollars à 135,09 dollars le 22 mai.

Tandis que jeudi, les cours avaient perdu plus de 4 dollars sur le Nymex, suite à une baisse de la demande, ils ont repris le chemin de la hausse vendredi à la faveur d'un raffermissement du dollar face à l'euro, qui ramène sur le marché les investisseurs désireux de se protéger contre l'inflation. Vendredi vers 14h, le baril de « light sweet crude » sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), s'échangeait autour des 128,02 dollars, soit 1,40 dollar de plus par rapport à sa clôture jeudi. Le dollar, monnaie dans laquelle est vendue le brut, connaissait de nouveau vendredi un accès de faiblesse face aux principales devises tel l'euro, s'échangeant à 1,55 dollar pour un euro, contre 1,54 la veille.

Jeudi, le pétrole avait terminé la séance à 126,62 dollars, soit 4,41 dollars de moins que la veille, suite à une baisse de la demande, un rebond du dollar et des explications jugées rassurantes sur les approvisionnements après une chute imprévue des stocks pétroliers aux Etats-Unis. Ceux-ci sont en effet ressortis en baisse durant la semaine terminée au 23 mai, de 8.8 millions de barils, portant ainsi le total des stocks à 311.6 millions de barils. Par ailleurs, la demande en pétrole brut affiche un recul de 0.7% par rapport au niveau où elle se situait l'année dernière sur la même période de quatre semaines, à 20.5 millions de barils par jour. Même constat du côté de la demande d'essence, qui croît souvent avec l'approche de l'été mais qui affiche un recul de 0,4% sur les quatre dernières semaines.


www.lefigaro.fr

Tarte à l'oignon à l'alsacienne

Ingrédients (4 à 6 personnes) - Plat principal

1 pâte brisée ou feuilletée
250 g d'oignons coupés très finement
beurre
100 g de lard fumé

Pour la sauce béchamel
1/2 l de lait
50 g de beurre
sel, poivre
2 jaunes d'oeuf


Préparation (30 minutes) / Cuission 40 minutes

Préchauffez votre four à 210°C (th.7).
Emincez les oignons et faites-les revenir dans le beurre puis ajoutez-y le lard.
Préparez la béchamel et incorporez-y les jaunes d'oeufs en dernier hors du feu.
Versez le tout sur la pâte.
Faites cuire à four chaud 20 à 25 minutes.

Servir tres chaud accompagner d'une salade verte!!!

BON APPETIT

jeudi 29 mai 2008

Le pire de la crise financière est clairement derrière nous


Interview de Marcel Rohner, directeur général d'UBS


Le Temps: Neuf mois après le début de la crise des «subprime», on reste ébahi face à l'ampleur des dégâts subis par UBS (UBSN.VX), alors que la banque incarnait le succès en 2005-2006 encore. Comment un basculement aussi rapide a-t-il été possible?

Marcel Rohner: Comme je l'ai expliqué en présentant les résultats annuels et en assemblée générale, plusieurs facteurs se sont combinés. L'un d'eux est qu'UBS avait traditionnellement une exposition dans les actifs à long terme, ayant choisi des marchés qui semblaient très liquides et des titres de bonne qualité - apparente. Nous avons appris, à nos dépens, que ce n'était pas le cas et que l'engagement dans le marché des titres adossés à des hypothèques à risques était simplement trop grand. Autre facteur: la forte intégration de notre division banque d'affaires lui a donné accès à un financement abondant, à des conditions très avantageuses. Elle a ainsi développé des activités économiquement discutables qu'il aurait été plus difficile de mettre en place s'il avait fallu les financer à l'extérieur. Enfin, nous avons commis l'erreur d'adopter une stratégie d'imitation pour combler notre retard sur les concurrents dans les opérations à revenu fixe. Ajoutez à cela une confiance excessive dans les procédures de contrôle, et vous avez les causes de notre surexposition.

- Quand les erreurs décisives ont- elles été commises?

- Je comprends le désir d'isoler un événement, une source ou une date, mais cela ne se passe pas comme ça en pratique. Beaucoup d'interactions entrent en jeu, il s'agit d'un processus continu.

- UBS a été parmi les premières à annoncer une grosse perte en été 2007, sa transparence était alors saluée. Plus la crise s'étendait, plus la banque a paru se replier sur elle-même. Et la lettre d'explications envoyée, début mai seulement, à la clientèle de détail suisse a été diversement appréciée. Allez-vous adopter une politique de communication plus offensive?
- C'est votre analyse. Quant à la lettre envoyée à nos clients, qu'est-ce qui vous fait dire que les réactions ont été mitigées?

- Celles que nous avons recueillies l'étaient.
- Au cours de cette crise, nous avons été parmi les plus actifs à communiquer - par choix comme par nécessité. Un cadre strict régit la publication ad hoc des sociétés cotées en Suisse. Mais quand vous communiquez tôt, vous ne savez pas quelle sera la situation dans trois mois. En particulier dans une crise comme celle-ci, dont la dynamique évoluait de semaine en semaine. Il ne faut pas y voir l'intention de cacher des informations défavorables. Chaque fois que nous avons eu des nouvelles importantes à annoncer, nous l'avons fait dès qu'il était possible. Nous avons lancé cinq avertissements sur bénéfices pendant cette période, j'ai eu des centaines de conversations avec clients, analystes, investisseurs et médias et mené autant de discussions. Quant à la lettre à nos clients, n'oubliez pas que les règles de publicité ad hoc s'y appliquent aussi. Nous ne pouvons pas écrire n'importe quand et nous adresser uniquement à un certain groupe d'acteurs du marché.

- Voulez-vous dire que vous ne pouviez pas écrire plus tôt à vos clients suisses?

- C'est cela. En tout cas, les annonces importantes doivent être communiquées en même temps à tous les acteurs du marché.

- Les quelque 80000 employés d'UBS subissent le contrecoup d'erreurs qui incombent à la direction, aux organes de contrôle et, a-t-on lu, à quelques centaines de courtiers déconnectés des réalités. Ce dernier chiffre est-il exact? Et comment faites-vous pour remotiver le reste du personnel?
- Cet enjeu me touche beaucoup, car la grande majorité des employés d'UBS ont fait un travail exceptionnel. En 2007, la plupart des unités ont réalisé des résultats record, y compris dans certaines parties de la banque d'affaires. L'essentiel du problème provient effectivement d'une entité de quelques centaines de personnes. Aujourd'hui, les deux questions importantes sont: comment résoudre rapidement ce problème, et comment redonner les meilleures perspectives d'avenir à la banque? Je suis convaincu, et les actionnaires avec moi, que la meilleure réponse est d'investir dans les gens. Certains nous ont reproché d'être trop généreux avec nos employés compte tenu des circonstances. La ligne est très fine entre un excès dans un sens ou dans l'autre. Nous avons analysé chaque unité, sa performance, sans jamais perdre de vue l'objectif final, qui est de maximiser le potentiel de la banque pour le futur.

- Le tournus est-il plus élevé qu'il y a un an à pareille époque?
- Pas jusqu'à présent. Bien sûr, certains sont frustrés par les difficultés et les critiques extérieures, plus sensibles que d'autres aux appels de la concurrence. Dans l'ensemble, je suis impressionné par l'engagement de notre personnel.

- Quelles conséquences aura la crise en termes de postes supprimés, en Suisse notamment?
- Il y a deux aspects à cette question. Notre banque d'affaires, qui avait beaucoup grandi ces deux dernières années, doit être redimensionnée, suite aux problèmes qu'elle a connus mais aussi parce que les marchés ont changé. Nous avons annoncé une réduction de 2600 postes; elle aura une incidence en Suisse, de l'ordre de 200 emplois. L'autre enjeu, permanent, est de viser le rapport le plus efficace entre les gens conseillant la clientèle et ceux qui les soutiennent. La baisse des marchés nous oblige à adapter les effectifs. Si la situation évolue comme nous le pensons, nous réduirons les effectifs par le jeu des fluctuations naturelles - sachant qu'avec un taux de rotation de 9%, 2000 à 3000 personnes quittent UBS chaque année. D'ici à l'été 2009, nous disposerons ainsi de 1500 postes en moins en Suisse.

- Vous avez dit récemment qu'une troisième recapitalisation d'UBS n'était pas nécessaire. Certains analystes, notamment ceux de Lehman Brothers, estiment que vous devrez encore déprécier quelque 25 milliards de dollars sur le solde de vos positions à risques. Qu'en est-il?
- Nous avons encore des positions à risques, dont le détail a été publié, et la volatilité subsiste sur les marchés. S'ajoutent à cela des questions plus techniques comme la comptabilisation de notre propre dette. Cela étant, je peux seulement répéter que dans le marché hypothécaire américain nous ne prévoyons pas de dépréciations aussi importantes que celles passées au premier trimestre, a fortiori pas de l'ordre de grandeur que vous citez.

- Toujours plus réglementé, déprimé, le marché américain reste-t-il attractif?
- Ce marché est surtout vaste! Et d'autres y réussissent... Quant au renforcement des règles, auquel nous nous préparons, il concerne toutes les places financières, pas seulement les Etats-Unis. Différents scénarios existent sur la conjoncture américaine; nos propres économistes prévoient un ralentissement plutôt qu'une récession dramatique. De toute façon, la stratégie d'une banque ne dépend pas de la conjoncture. A ce niveau, la taille relativement réduite de nos activités liées aux opérations à revenu fixe («fixed income») nous met, ironiquement, dans une position favorable sur le marché américain, où nous sommes forts dans les segments du financement d'entreprises et des actions. La taille plus grande de notre banque d'affaires en Asie ou en Europe par rapport aux Etats-Unis devient un avantage compétitif.

- Le marché de la titrisation (assemblage de crédits de qualités diverses, ensuite découpé en tranches revendues à d'autres investisseurs) survivra-t-il à la crise des «subprime»?
- Je ne pense pas qu'il va disparaître. En soi, la titrisation est utile car elle augmente la liquidité. Deux choses vont changer, à mon avis: ces marchés - car il faut différencier la titrisation selon les actifs sous-jacents - deviendront à la fois plus standardisés et plus simples. Il y aura ainsi plus de transparence, ce qui est important pour que les investisseurs puissent se faire une meilleure opinion de ce qu'ils achètent.

- La Suisse s'apprête à intégrer la Commission fédérale des banques (CFB) dans une entité plus large, la Finma. Le régulateur et «gendarme» des banques a-t-il la taille et les compétences pour surveiller un géant tel qu'UBS?

- En tant qu'entité supervisée, ce n'est en principe pas à nous de nous prononcer sur ce point. Je constate néanmoins qu'en dépit de leur taille restreinte, la CFB et la Banque nationale suisse ont fait un excellent travail. Elles ont collaboré efficacement avec leurs homologues d'autres places financières et mené un dialogue constructif avec nous. La Finma devrait être plus efficace encore que la CFB en exploitant les synergies entre la surveillance des banques et celle des assurances. La Suisse a tout intérêt à disposer d'autorités de régulation respectées sur le plan international, la Finma est un bon pas dans ce sens.

- Pourtant la CFB, comme les autres régulateurs, n'a pas vu venir la crise...
- Les attentes sur ce point sont très éloignées de la réalité. Cela suppose que les régulateurs savent où se dirigent les marchés financiers. Ce n'est pas quelque chose qu'on peut raisonnablement exiger d'eux.

- Les banques centrales ont activement joué les pompiers en faveur des banques prises dans l'incendie des «subprime». Le prix à payer sera le durcissement des normes anti-feu. Le président de la CFB évoque publiquement la possibilité d'intervenir dans les hautes rémunérations des banques...
- S'il est établi qu'il y a un lien entre celles-ci et la stabilité du système financier, voyons ce que proposera le régulateur. Sans oublier que les premiers concernés par cet enjeu sont les actionnaires. J'ajoute que le débat sur les incitations concerne deux catégories particulières - et très minoritaires - d'employés: la direction et les personnes dont les activités concentrent beaucoup de risques, certains courtiers en particulier. C'est le travail de la direction de mettre en place les contrôles adéquats pour éviter une concentration excessive des risques. Mettre la faute sur les incitations est une excuse très facile. D'autres établissements avaient les mêmes et n'ont pas connu les mêmes problèmes. L'enjeu, complexe, ne se résume pas à des recettes simples, comme celle consistant à s'inspirer des gérants de hedge funds. Savez-vous quelle est la durée moyenne d'un hedge fund? Quatre ans et demi. Il faut trouver un équilibre subtil permettant de sauvegarder les intérêts de la banque et de fidéliser les talents. Notre système de rémunérations actuel va dans ce sens. Mes propres actions UBS, dont le nombre est publié, ont suivi la banque à la baisse comme à la hausse, ce qui est juste. Cela dit, nous examinons toujours les nouvelles idées dans ce domaine.

- L'arrestation récente du chef de la gestion de fortune pour le continent américain, ainsi que celle d'un ex-employé, signifient-elles que la lutte contre l'évasion fiscale se durcit aux Etats-Unis? Et quelles conséquences peut avoir cette enquête pour UBS?
- Nous avons mentionné l'enquête américaine dans notre rapport trimestriel mais ne faisons pas d'autre commentaire à ce sujet.

- D'une manière générale, pensez-vous que la pression sur le secret bancaire augmente, des deux côtés de l'Atlantique?

- Je suis convaincu que la protection de la sphère privée est aussi importante, sinon plus, qu'avant - d'autant plus que le développement de médias électroniques pose de nouveaux défis. Avec la directive sur la taxation de l'épargne, nous avons résolu la question de manière efficace avec nos voisins européens. C'est un régime clair, qui profite aux deux parties. Pour cette raison, je pense qu'il finira par s'imposer.

- Entre ceux qui disent que le pire de la crise est derrière nous et ceux qui le voient devant, où vous situez-vous?
- On m'a demandé récemment, parmi d'autres dirigeants d'entreprise, si je pronostiquais ces prochains trimestres une croissance de l'économie américaine au-dessus de 2%, entre 0 et 2% ou inférieure à 0%. J'ai choisi la variante 0 à 2%. L'immobilier continuera de baisser, il faut plusieurs années pour digérer une crise de ce genre, mais les marchés l'ont déjà largement intégrée dans les prix actuels des titres. Par ailleurs, d'autres secteurs de l'économie se portent mieux qu'on ne l'imagine.

- La question portait moins sur les Etats-Unis que sur la crise des banques et du système financier...
- Sur ce plan, je pense clairement que le pire est derrière nous. Sans doute les banques auront-elles encore pas mal de ménage à faire ces deux prochaines années, mais en ce qui concerne les risques systémiques, nous avons passé l'étape la plus difficile.


www.letemps.ch

Recettes à base d'oignons

Bienvenue à tous,

Durant les prochains jours, je vais vous proposer une série de recettes à base d'oignons.

De l'entrée au déssert, en passant par les amuses-bouches.

Venez visiter cette page dès demain, la première recette sera déjà là.

Bonne appétit.

La régulation des agences de notation exige une coordination internationale


Le président de la Securities and Exchange Commission (SEC), Christopher Cox, est appelé à succéder au président de l'Autorité des marchés financiers (AMF), Michel Prada, à la tête du Comité technique, l'instance exécutive de l'Organisation internationale des commissions de valeurs (OICV). Tout en appelant à une coordination internationale sur le sujet, le gendarme de la Bourse américaine s'apprête à durcir les règles qui s'appliquent aux agences de notation. Celles-ci sont en effet enregistrées auprès de la SEC, qui s'appuie sur leur travail pour certaines tâches.



La crise du « subprime » a eu un énorme impact sur les marchés financiers. Quelles leçons les régulateurs peuvent-ils en tirer ?


La crise du « subprime » est l'illustration d'un problème global mais aussi d'un effort de coopération mondiale pour le résoudre en temps réel. L'OICV a mis en place un groupe de travail sur ce thème et ses membres ont largement pu discuter de cette question ici à Paris. Il y a beaucoup de choses à prendre en compte, comme le manque de discipline des acteurs qui ont émis les prêts immobiliers « subprime » ou bien l'effondrement du marché de l'émission de certains produits titrisés. A la SEC, nous avons regardé tout le cycle de la titrisation et nous avons trouvé des problèmes à chaque étape. Certains étaient des problèmes de marché, d'autres des problèmes de réglementation.



De quelle nature ?


Par exemple, le rôle des agences de notation dans l'évaluation des produits structurés qui étaient suspects. C'est clairement un domaine où il n'y a pas assez de réglementation. Mais cela change. Aux Etats-Unis, nous avons maintenant une nouvelle loi qui nous donne un droit de regard sur les agences de notation (NDLR : la loi de réforme des agences entrée en vigueur en juillet 2007). Vers mi-juin, la SEC va donc présenter un nouvel ensemble de règles. L'OICV a mis en place un groupe de travail sur la même question, comme le Comité européen des régulateurs de marché (CESR). Il faut une coordination internationale pour bâtir une nouvelle régulation des agences de notation.



Les fonds spéculatifs sont de plus en plus présents sur les marchés financiers mais ils ne sont pas réglementés. Faut-il mettre fin à cette asymétrie entre acteurs ?


De façon croissante, les fonds spéculatifs sont en train de se transformer en un nombre d'institutions financières de nature très variée. Parfois, ils imitent ce que font d'autres acteurs qui, eux, sont réglementés. Au fur et à mesure qu'ils vont pénétrer de nouveaux champs d'activité réglementés, ils vont tomber sous le coup des règles en vigueur. Il va donc falloir les étudier très scrupuleusement pour comprendre la nature de l'activité de chacun.



Au point de vue international, où en sommes-nous en termes de reconnaissance mutuelle ?


La SEC vient d'accueillir les représentants des régulateurs financiers du monde entier à Washington. Il y avait près d'une centaine de pays présents. Nous le faisons depuis plusieurs années et cela nous apporte de l'expérience, au même titre que les réunions annuelles de l'OICV. J'ai confiance dans le fait que nous progressions dans la direction d'une reconnaissance mutuelle. Je sais que CESR travaille sur ce sujet avec les pays membres de l'Union européenne. Pour notre part, les discussions de la SEC sont bien avancées avec l'Australie et le Canada.



La SEC vient de donner un calendrier pour l'adoption de l'information financière interactive au

moyen du langage XBRL (eXtensive Business Reporting Language). Quel en est l'intérêt ?


Il est aujourd'hui difficile d'exploiter pleinement l'information financière disponible. On ne peut accéder à cette information que société par société. La mise à la disposition de ces données sous forme XBRL permet de les consulter très rapidement et de réaliser des comparatifs très larges. C'est un peu ce que Google a apporté à Internet : la possibilité de réaliser en un minimum de temps des recherches qui auraient été beaucoup plus fastidieuses, voire impossibles autrement.



Est-ce une mutation coûteuse pour les entreprises ou pour les fonds communs de placement qui vont devoir s'y plier ?


Non car il s'agit d'un logiciel standard que l'on peut se procurer gratuitement. Une société comme United Technologies Corporation a investi 40.000 dollars la première année. Les années suivantes, c'est évidemment beaucoup moins cher.


mercredi 28 mai 2008

Soros Explains The Credit Crisis




The New Paradigm for Financial Markets: The Credit Crisis of 2008 And What It Means by George Soros ($23, Public Affairs, 2008).

With his near real-time critique of the credit crisis, George Soros has saved financial historians a lot of work. If he's right, the summer of 2007 and all of 2008 will be the topic of many an academic paper, much like how Ben Bernanke made a career out of studying the Great Depression. Soros sees this as a monumental time. It's not just a bursting housing bubble, he says. It's the end of a quarter-century of credit-driven economic expansion. We're in a whole new world.

Up until August 2007, Soros had mostly farmed out management of his hedge fund to outsiders so that he could devote his time to philanthropy, philosophy and politics. The first troubles in subprime spurred Soros back into the markets. This time his goal wasn't so much to find the next billion-dollar trade but to preserve the wealth of his foundations.

This market has been so tough that it's vexed even Soros. His book offers a broad trading diary from January 2008 through the end of March, when The New Paradigm went to the printer. Soros' investment plan was to "short U.S. and European stocks, U.S. 10-year government bonds and the U.S. dollar; long Chinese, Indian and Gulf States stocks and non-U.S. currencies."
On March 10, he noted that commodities were stronger than he thought they'd be, that the Federal Reserve acted more aggressively than he'd anticipated and that the Indian and Chinese stock markets, not quite decoupled from the U.S. economy, took major hits.

On March 16, he observed that "The panic is palpable," and bought into ailing Bear Stearns (nyse: BSC), expecting some return on a Federal Reserve brokered auction of the company. He got burned admitting that, "We forgot to take into account that Bear is disliked by the establishment, and the Fed would use the occasion to deal with a moral hazard by punishing shareholders."

For those who might be confused by Soros' analysis there, Bill Miller, manager of the Legg Mason Value Trust explains: "Bear had been very aggressive in seizing the capital of Askin Capital in 1994 and precipitating its failure. In 1998 it opted out of rescuing Long Term Capital Management. That's the kind of thing where, if you're Merrill, Citigroup or the Fed, you remember." Miller also bought shares in Bear, for the same reasons Soros did.

The trading diary ends with Soros losing money. While he wishes he could have reached a more triumphant ending, he notes that the result "may be more appropriate for the purposes of the book."

Indeed, it is. While Soros is investing actively again, he's really using the market as a laboratory where he can test his philosophical ideas, especially the notion of reflexivity--that no market participant can ever have perfect knowledge because their beliefs, and the beliefs of others, effect and distort the markets. Because investors tend to herd--they buy things that are going up and sell things that are going down--markets are constantly beset by bubbles. Irrationality reigns supreme.

Soros was once a student of the philosopher Karl Popper, who spent most of his time studying science. Popper came to the conclusion that all scientific statements must be falsifiable and that no scientific theory is ever absolutely true. They are just able to withstand people's attempts to prove them wrong. So long as a theory isn't falsified, it's as good as true. But we're 100% certain about nothing.

The turmoils we see in the markets reflect the turmoils of human thought. The implications of this go far beyond investing. It means that market fundamentalism, the idea that markets are always self-correcting and don't need regulation, is just wrong. Markets are flawed because they reflect human delusions of certainty. Banks make money by issuing loans. If they want to make more money, they need to issue more loans. Absent regulation to stop them, the banks will issue new loans in new ways. They rationalize the risk away by building models based on past experience. The risk models say that the loans are safe. The flaw? All of these new loans fuel an unprecedented housing bubble that the risk models, which are backward looking, can't account for. All of these new loans also create new levels of debt, also unprecedented in history. So the risk models, once again, miss them.

It's time, says Soros, to bring back some of the regulations that were put in place after the Great Depression and then eroded in the decades that followed. Leverage and credit creation, he says, need to be reigned in. Regulators need to start looking to control asset bubbles as they manage the economy for the more usual goals of full employment and price stability.
Soros sees a new economy, indeed a new world order emerging. If the U.S. leaves its fate to the whims of flawed markets, it will lose much of its worldwide influence. Without the dollar as the reserve currency of first choice, the U.S. really has nothing but military supremacy in order to defend its position in the world, and even that, says Soros, has been undermined by the debacle in Iraq.

Soros' message for citizens, investors, politicians and regulators is to approach this new economy and new political order with humility. Be flexible and never dogmatic. Strive to find truth while realizing it's unattainable. It's false certainty that trips us up, in both investing and life.

http://www.forbes.com/

Le régulateur américain des marchés de dérivés renforcé


La Commodity Futures Trading Commission (CFTC), l'organisme chargé de surveiller les marchés dérivés aux Etats-Unis, a obtenu du Congrès le renouvellement de son mandat jusqu'en 2013.

Selon la législation en vigueur outre-Atlantique, tous les cinq ans, la CFTC, créée en 1974, doit obtenir du législateur l'autorisation de poursuivre ses fonctions. Cette fois-ci, le Congrès a aussi renforcé les pouvoirs de ce régulateur placé sous les feux des projecteurs depuis l'envolée des cours des matières premières. Désormais, la CFTC voit s'accroître sa palette d'instruments d'investigation sur les Bourses électroniques de commerce non réglementées, comme l'IntercontinentalExchange (ICE). Jusqu'à présent, ces marchés n'étaient pas formellement soumis à l'autorité de la CFTC. Ces places de négociation doivent désormais déclarer les positions ouvertes larges et imposer des limites. De plus, elles sont astreintes à s'autoréguler afin d'éviter toute manipulation de cours.

La CFTC a obtenu le droit d'intervenir sur les transactions en cas d'urgence déclarée. Elle renforce sa surveillance sur les échanges opérés hors marché sur les devises étrangères. Les courtiers qui s'engagent dans les négociations de gré à gré sur ces produits financiers devront s'enregistrer auprès de la CFTC et exiger de leurs clients qu'ils se déclarent. Ces courtiers devront être dotés de capitaux suffisants dont le montant est fixé légalement lorsqu'ils agissent en contrepartie de ces transactions.

ME Group, le principal marché de dérivés en passe de fusionner avec le Nymex, a estimé que le Congrès « a bien compris le rôle vital de cette agence dans la régulation des marchés des contrats à terme et des options. Il donne par là davantage d'assurance à la philosophie de régulation de ces marchés, qui a facilité la concurrence, l'innovation et la croissance des places américaines ainsi que leur capacité de faire face à la compétition globale. »

Le renforcement de l'autorité de la CFTC a lieu au moment même où l'on s'interroge sur l'impact de la spéculation sur les marchés des matières premières. Pour Jeffrey Harris, chef économiste de l'agence, « une spéculation excessive peut être au détriment des marchés ». Dès lors, « la commission a utilisé son autorité pour mettre des limites sur les volumes de positions spéculatives » sur les marchés de dérivés agricoles. « En fait, les prix agricoles record ont été enregistrés sur des matières premières dont aucun contrat à terme n'est coté et sur des marchés dont les produits ne sont pas ou faiblement inclus dans des indices. » En résumé, la CFTC veille, mais ne trouve aucun signe tangible de manipulation.

mardi 27 mai 2008

BURGER AU SAUMON FUME ET CREME DE CIBOULETTE


Préparation: 10min


Ingrédients (pour 6 personnes)

- 6 tranches de saumon fumé
- 6 pains à burger (chez votre boulanger ou en grande surface)
- un petit pot de crème fraiche épaisse à 15 % de matière grasse
- 4 c s. de ciboulette fraîche
- 1 oignon rouge
- 1/2 concombre
- feuille de salade
- poivre, sel, tabasco ou piment

si vous en avez envie :
- 1 avocat pas trop mur
- 3 gros cornichons sucrés pour la déco


Préparation :

PREPARER LA CREME DE CIBOULETTE :

- mélanger à même le pot la crème fraîche avec la ciboulette ciselée, le poivre, le sel et 10 gouttes de tabasco.
- tartiner une légère couche sur la moitié basse du pain à burger.

DRESSER LE BURGER :


- déposer sur chaque moitié de pain tartiné quelques feuilles de salade, des lamelles de concombre épluché et/ou d'avocat, des lamelles d'oignon rouge épluché, une tranche de saumon plié de façon à ce qu'elle ne dépasse pas du burger, et déposer une bonne cuillère de crème de ciboulette.
- refermer avec le chapeau du pain à burger.
- si vous le voulez : déposer dessus une moitié de cornichon coupé dans la longueur, piqué-le dans le burger pour le maintenir en place.
- servir dans les assiettes avec le reste de salade.

Bon appétit

lundi 26 mai 2008

Les FARC confirment la mort de leur chef historique, Manuel Marulanda



Les ravisseurs d'Ingrid Betancourt ont perdu leur chef historique. D'abord annoncée par le gouvernement de Bogota, la mort de Manuel Marulanda, leader des Forces armées révolutionnaires de Colombie (FARC) depuis plus de 40 ans, a été confirmée dimanche par les rebelles eux-mêmes, qui ont aussitôt nommé un successeur en la personne de l'idéologue du mouvement marxiste.

Manuel Marulanda, supposé être âgé de 78 ou 80 ans selon les sources, a succombé le 26 mars dernier à une crise cardiaque précédée d'une brève maladie, a précisé un commandant rebelle, Timoleón Jiménez, dans une vidéo diffusée par la chaîne vénézuélienne Telesur.

"Un grand leader s'en est allé", a commenté Jiménez, connu sous le nom de guerre de "Timochenko". Marulanda est mort "dans les bras de sa compagne, entouré de ses gardes du corps et de toutes les unités assurant sa sécurité", a-t-il ajouté, sans préciser la nature de la maladie ni le lieu du décès.

Les FARC, plus ancien et plus puissant mouvement de guerilla d'Amérique latine, d'inspiration marxiste, sont désormais dirigées par leur idéologue en chef, Alfonso Cano, a annoncé Jimenez.

Lors d'un déplacement dans l'ouest du pays, le président colombien Alvaro Uribe a affirmé que des guérilleros avaient fait savoir au gouvernement qu'ils étaient prêts à déserter et libérer des otages, à commencer par la Franco-colombienne Ingrid Betancourt, mais qu'ils avaient d'abord exigé la garantie qu'ils ne seraient pas incarcérés.

Le président colombien a proposé de demander à la justice de leur accorder une "liberté conditionnelle". Il a expliqué que les rebelles qui déserteraient et remettraient des otages aux autorités pourraient bénéficier d'un fonds allant jusqu'à 100 millions de dollars (63,5 millions d'euros) et "être envoyés immédiatement dans un pays comme la France". C'est la première fois que le président colombien fait une telle offre aux FARC.

C'est le gouvernement colombien qui a annoncé en premier samedi la mort de son ennemi public No1. Le ministère de la Défense avait ainsi déclaré avoir appris le décès de Marulanda par "différents moyens du renseignement militaire".

"Nous savons qu'au sein des FARC, la version est qu'il est décédé de mort naturelle, plus précisément d'une crise cardiaque", poursuivait le communiqué, en citant déjà la date du 26 mars. Toutefois, le ministère note que trois raids aériens de l'armée ont visé le chef des FARC ce jour-là.

"Que la mort de Marulanda ait été causée par un bombardement ou qu'elle soit naturelle, il s'agirait de la plus sévère perte jamais subie par le groupe terroriste", a estimé le ministère de la Défense dans son communiqué.

Les Forces armées révolutionnaires de Colombie ont subi plusieurs coups durs ces derniers mois, notamment la mort de leur No2, Raul Reyes, tué le 1er mars dernier dans un raid de l'armée colombienne en territoire équatorien.

Manuel Marulanda est à la tête de FARC depuis la fondation du mouvement de guérilla marxiste en 1964. De son vrai nom Pedro Antonio Marín, il est né dans une famille de paysans et s'est radicalisé pendant les guerres civiles qui ont secoué le pays au milieu du XXe siècle. Avec d'autres survivants d'un raid militaire sur un village, il a créé les FARC en 1964. Le mouvement s'est développé jusqu'à atteindre, au plus fort, 15.000 hommes. Le ministère de la Défense estime que les FARC comptent aujourd'hui 9.000 membres.

Selon le gouvernement colombien, les FARC retiennent 700 personnes en otages, dont la Franco-Colombienne Ingrid Betancourt, enlevée en février 2002.

En déplacement à Beyrouth, le ministre français des Affaires étrangères a exprimé l'espoir que le décès de Marulanda fasse évoluer la position des FARC sur les otages. "Je ne me réjouis de la mort de personne", a déclaré Bernard Kouchner, interrogé sur France Info. "L'annonce du président Uribe de la libération de certains otages dont Ingrid Betancourt nous remplit d'espoir."

"Nous nous sommes acharnés à trouver une solution, j'espère qu'elle se présente, et si les FARC font cela, il faudra les en remercier, vraiment", a ajouté le chef de la diplomatie française. "Si les FARC se rendent compte de cela, s'ils relâchent les otages, ce sera vraiment une délivrance pour eux, et pour nous un grand soulagement."

INFO SUR L'EURO - NUMERO VERT

L'EURO approche a grand pas.

La police genevoise met à la disposition de la population un numéro vert pour toutes les questions liées à la tenue de l'EURO

0800 800 844 (numéro gratuit)


Ouvert entre 8h et 2h du matin
Du 2 au 30 juin 2008


Pour plus d'info :

Genève Euro 2008

Police genevois Euro 2008

Recette d'une succulente soupe au vrai Gruyère suisse


SOUPE AU GRUYÈRE


Préparation : 20 minutes
Cuisson : 10 minutes

Ingrédients pour 4 Personnes :

- 750 g de Gruyère (préférence AOC Suisse)
- 750 g de Pain blanc
- 90 cl de Lait
- 50 cl de Bouillon de viande
- 10 cl de Vin blanc- 80 g de Beurre
- 2 oignons
- sel, poivre, muscat

1. coupez le pain en petit morceaux. Toster un peu dans 40g de beurre. verser le vin, lait, bouillon et porter à ébouition.

2. Mettez le gruyère raper et melanger.

3 .Verser le tout dans un plat à gratiner metter un peut de beurre en petit morceaux. gratiner au four préchauffer a 220°c pendant 10 minutes.

4. couper les oignon en rondelle et fait les revenir dans le rest du beurre.

5. Sevir dans des assiette de soupe décorer avec les rondelle d'oignons.

Bon appétit.

dimanche 25 mai 2008


MADELEINES AU CITRON



Préchauffez le four à 250°C (th 8/9).
Dans une casserole, faites fondre 120 g de beurre à feu doux en le laissant très légèrement brunir (beurre noisette). Ajoutez 1 c. à soupe bombée de miel et mélangez.
Lavez 1 citron non traité. Râpez le zeste et pressez le jus.
Dans un saladier, fouettez 3 oeufs avec 200 g de sucre en poudre. Ajoutez 10 cl de lait, le zeste et le jus de citron.
Tamisez 250 g de farine et 1 paquet de levure chimique sur ce mélange. Mélangez, puis versez le beurre fondu au miel. Mélangez et laissez reposer la pâte (1 h c’est bien, 12 h c’est mieux !).
Remplissez des moules à madeleines aux 3/4. Glissez au four et laissez cuire 5 min.
Baissez le four à 200°C(th 6/7) et poursuivez la cuisson 5 min.
Démoulez et déposez les madeleines dans une boîte hermétique pour qu’elles restent bien moelleuses.


BON APPETIT

Les sujets de mon blog

J'ai mis quelques jours à choisir les sujets que je veux développer su mon blog.

Voici principalement ceux que je développerai :

- actualité régional, suisse et international.
- économie, finance.
- droit
- cuisine.
- Égypte ancienne, particulièrement la période des Ramses.

et d'autres sujets que vous me suggérez.

Merci de votre intérêt.

samedi 24 mai 2008

comparatif des stations services en Suisse et en France

En cette période de hausse du prix de l'essence voici un site facile à utiliser et à mettre à jour.

www.joecarbure.com

Je vous encourage tous à faire comme moi.

Lorsque vous passez régulièrement vers une station service, relever le prix de l'essence et ensuite inscrivez le sur la station correspondante. Si elle n'existe pas encore créee là.

Plus il y aura de stations services, plus le site sera intéressants.

Quelques minutes qui sont utiles à tout le monde.

jeudi 22 mai 2008

Création de mon blog

Et voilà, je ne pensais pas que crée un blog ou plus précisément débuter à crée un blog serait si facile et amusant....
Voilà le début. La suite pour bientôt.
A bientôt à tous....

Ramses XX